l’évolution du circuit Yvon-Duhamel – De 2000 à 2010
l’évolution du circuit Yvon-Duhamel – De 2000 à 2010
1994

En 2002-2003, la préinscription des coureurs permet d’établir une horaire de toutes les catégories durant les 3 jours de l’événement. À cette époque, Marcel Fontaine a aussi effectué une refonte du programme des courses en raison des problèmes d’horaires rencontrés dans les dernières années. Il fallait revoir la possibilité de réduire également le nombre de classes et les qualifications. On comptait à cette époque 4 classes en Snocross et 15 classes en ovales. L’organisation travaillait donc à imager 3 classes et deux catégories de pilotes : les classes Open, Stock, Champ et deux catégories de pilotes, c’est-à-dire Pro et Semi-pro. Au total, c’est un retrait de 33 courses qui a été possible. La programmation de 79 courses au départ était désormais de 55 courses le samedi et de 49 à 40 courses le dimanche. Finalement, des heures fixes avaient été établies pour les courses les plus importantes.

Améliorations des pistes 

Entre 2004 et 2010, les améliorations concernent surtout la piste ovale du circuit Yvon Duhamel. Une à leur tour, toutes les courbes y sont passées ! En 2008, dans la courbe 1 et 2, la piste a été élargie encore une fois de 20 pieds afin d’éviter les accidents qui arrivaient trop souvent par le passé. De plus, les artistes du freestyle avaient leur propre site pour exprimer leur talent, la zone Red Bull, maintenant située à l’extérieur de la piste principale. Du côté de la piste de Snocross, WPSA a réalisé une piste avec des dévers prononcés, des vagues de bosses préformées alors que d’habitude il utilisait davantage le travail naturel du passage des motoneigistes.

En 2010, la courbe numéro 4 de l’ovale glacé du circuit Yvon-Duhamel a subi quelques modifications (plus de largeurs et une inclinaison plus prononcée). Le dernier virage avant la ligne d’arrivée de la catégorie Pro Champ promettait ainsi d’offrir un lot de sensations fortes. Pour la piste de Snocross, on avait ajouté 40 % plus de neige. Les bosses étaient plus hautes, les creux plus profonds, ce qui plaisait aux pilotes plus techniques.

 

YouTube : @GPSValcourt