Du FIM au super Grand Prix
Du FIM au super Grand Prix

Depuis quelques années, il était devenu difficile de gérer deux événements. L’un sous l’appellation « FESTIVAL » et l’autre sous l’appellation « GRAND PRIX ». Après une sérieuse réflexion, le FIM et le Grand Prix ont été consolidés en un seul événement annuel : Le Grand Prix Petro-Canada de Valcourt (GPPCV). Cet événement majeur était considéré comme le plus grand rendez-vous de la saison par l’ensemble de la communauté motoneigistes et amateur de sports motorisés d’hiver.

L’abandon de la thématique « Festival international de la motoneige » permettait de simplifier la communication. Aussi, de pousser à fond la présentation d’un produit « Grand Prix », véritable événement de sport motorisé. Le message insistait sur trois aspects de l’événement : international par le recours aux termes « mondial, mondiaux, les meilleurs pilotes au monde, etc. ». Deuxièmement, l’aspect excitant par le recours aux termes « plaisir, fête, filer vers Valcourt ». Troisièmement, l’aspect qualité par le recours aux termes « première classe, en premières loges, etc. »

Programme de course

Plusieurs recommandations de la part de Monsieur Normand Prieur, membre du conseil d’administration, ont été mises de l’avant. Le produit a été défini comme un programme de course en motoneige sur piste ovale glacée, comprenant une classe principale, la Formule 1 — Motoneige, et plusieurs classes de soutien. D’ailleurs, la venue des Séries Mondiales en 1991 et 1992 a eu une grande incidence médiatique. En 1992, on ne peut nier les reproches venant des résidents de Valcourt concernant l’absence du château de glace et les jeux, mais malgré tout, ce dixième Grand Prix orienté course fut un succès !

SAVIEZ-VOUS QUE …

Le château de glace était l’emblème du FIM. Yvon Guay, maçon très connu dans la région, et son équipe ont pris en charge la fabrication du château de glace pendant de nombreuses années.

Malheureusement, au début des années 90, il était devenu difficile de garder le château dans un état optimal dû au réchauffement climatique.